Se lancer sur YouTube en 2025

Titre : « Se faire un nom sur YouTube en 2025 »
Chaîne : Baptiste Soukiassian

URL : https://www.youtube.com/watch?v=wcnKPXqtg5Y

• YouTube, l’eldorado 2025 :
  • YouTube est une plateforme incontournable mais très compétitive avec une forte barrière à l’entrée.
  • De nombreux petits créateurs ont des audiences qualifiées (1 000 à 10 000 fans) qui leur génèrent des revenus conséquents grâce à des offres haut de gamme (1 000 € à 10 000 €).
• Objectif de la vidéo :
  • Enseigner une stratégie minimaliste pour trouver ses 1 000 vrais fans en 2025, sans copier les grosses productions.
  • Approche basée sur le principe du 80/20 pour entrepreneurs avec peu de temps à investir.
• Expertise de l’auteur :
  • L’intervenant dirige une agence spécialisée dans le développement de petites audiences YouTube qualifiées.
  • Retour d’expérience terrain avec des dizaines de clients dans divers secteurs.
• Trois étapes clés présentées :
  • Poser les bases de votre chaîne :
    • Définir l’identité unique de la chaîne pour éviter l’ »audience friend zone » (beaucoup de vues, mais peu de revenus).
    • Structurer chaque vidéo : cible, appels à l’action, positionnement.
  • Trouver les meilleurs sujets de vidéos :
    • 80 % du succès est déterminé avant même de filmer (titre, angle, miniature).
    • Se concentrer sur des « angles winner » pour maximiser l’impact.
  • Créer un plan pour les 10 prochaines vidéos :
    • Un plan pour des vidéos percutantes sans nécessiter de compétences techniques élevées.
    • Adapté aux entrepreneurs, non à ceux cherchant à devenir YouTubeurs à temps plein.
• Public cible de la vidéo :
  • Débutants cherchant des bases solides.
  • Consommateurs d’informations saturés et incapables de passer à l’action.
  • Créateurs avancés cherchant à optimiser leurs processus et performances.
• Travail sur l’avatar client :
  • Identifier le prospect idéal (problèmes, causes, conséquences, solutions déjà essayées, objections, niveau de conscience).
  • Exemples détaillés sur le type de réflexion à mener pour comprendre les besoins et obstacles du client cible.
  • Concepts de niveau de conscience :
    • Unaware : ne sait pas qu’il a un problème.
    • Problem-aware : connaît son problème mais pas les solutions.
    • Solution-aware : connaît des solutions mais n’arrive pas à les mettre en œuvre.
    • Product-aware : sait qu’une solution existe et est prêt à l’adopter.

• Clarifier votre audience et votre discours :
  • Comprendre où se situe votre audience dans le cycle de conscience (unaware, problem-aware, solution-aware, product-aware).
  • Adapter vos vidéos en fonction de leur niveau de conscience. Exemple : pas besoin de démontrer les bénéfices de YouTube à des viewers déjà convaincus.
• Importance du manifeste :
  • Définir une mission forte pour votre chaîne, au-delà des sujets abordés.
  • Différencier les chaînes « tutos » (commodes, interchangeables) des chaînes « identité » qui fédèrent une audience autour d’une vision ou d’une personnalité.
  • Exemples :
    • Antoine BM est passé du marketing digital à des sujets personnels (voyages, lectures) tout en gardant son audience.
    • Objectif : que les gens suivent pour qui vous êtes, pas seulement pour vos sujets.
• Créer un manifeste puissant :
  • Identifier votre « grand pourquoi » et « contre quoi vous vous battez » (ex. : lutte contre la routine professionnelle déprimante).
  • Intégrer un ennemi ou un problème à résoudre dans votre storytelling.
  • Inspirer une mission claire pour que votre audience vous perçoive comme une figure authentique et engagée.
  • Exemple : Netflix se bat pour apporter du divertissement et pourrait facilement élargir ses activités (parcs d’attraction, etc.).
• Preuves de légitimité :
  • Présenter vos résultats pour crédibiliser votre contenu.
    • Résultats clients (exemple : un client est passé de 1 000 à 4 000 vues mensuelles et de 5 000 € à 20 000 € par mois grâce à YouTube).
    • Vos propres réussites (exemple : votre chaîne, vos abonnés, votre chiffre d’affaires).
  • Mettre en avant vos efforts et sacrifices (« preuve de la sueur »).
    • Exemple : « J’ai produit 1 000 vidéos pour maîtriser ma méthode. »
  • Arguments d’autorité : diplômes, certifications, prix, grandes références.
    • Exemple : Ali Abdaal explique qu’il est arrivé premier à Cambridge pour légitimer son système de mémorisation.
• Objectif de cette approche :
  • Transformer votre chaîne YouTube en un canal de création de « vrais fans ».
  • Aller au-delà des vues ou abonnés pour obtenir des clients qualifiés et engagés.
  • Créer une ligne éditoriale orientée expertise et impact durable.

• Identité visuelle :
  • Définir dès le départ une identité visuelle claire pour votre chaîne, incluant :
    • Les couleurs, les polices, l’ambiance générale (minimaliste, cyberpunk, chill, etc.).
    • Objectif : harmoniser vos vidéos, miniatures et branding pour renforcer l’âme de votre chaîne.
  • Exemples inspirants :
    • La chaîne Danco (minimalisme noir et blanc).
    • Guillaume Moubeche pour ses miniatures travaillées.
  • Astuce : concevoir une phrase simple pour clarifier votre vision (ex. : « Le règlement de l’entrepreneuriat »).
• Choix des sujets sur YouTube :
  • 80 % du succès d’une vidéo dépend du sujet, titre et miniature choisis avant de filmer.
  • Problème fréquent : ces éléments cruciaux sont souvent négligés ou traités en fin de processus.
  • Approche stratégique :
    • Identifier les sujets qui attirent déjà l’attention de votre cible.
    • Exemples : analyser des figures connues (ex. : Alex Hormozi, Booba) ou des événements pertinents sous un prisme spécifique (marketing, entrepreneuriat, etc.).
    • Traiter ces sujets avec un angle expert pour mettre en avant votre propre expertise.
  • Différence entre storytelling simple et approche experte :
    • Le storytelling attire mais peut laisser l’audience passive.
    • L’approche experte engage et incite à l’action tout en construisant votre légitimité.
• Exemples d’approches efficaces :
  • Chaîne Bienvenue au cabinet : analyse des sujets populaires sous l’angle de la fiscalité (ex. : « Combien coûte le départ de Mbappé à la France ? »).
  • Yann Leonardi : stratégie marketing appliquée à des marques ou célébrités (ex. : « Les leçons marketing de Booba »).
  • Approche mixte : 30 % de contenu sur le sujet viral, 70 % d’expertise personnelle, permettant de capter l’attention tout en vous positionnant comme expert.
• Stratégie pour débutants et croissance :
  • Pour une chaîne débutante : miser sur des sujets viraux analysés de façon experte pour gagner des abonnés rapidement.
  • Pour une chaîne existante : intégrer ces contenus stratégiques dans une vision globale, en restant orienté vers la conversion et la croissance.
• VSL (Vidéo de Vente) version YouTube :
  • Concept classique : une vidéo de vente (VSL) présente les bienfaits d’un produit/méthode et incite à un achat ou à un rendez-vous.
  • Version YouTube : chaque vidéo devient une « publicité gratuite », visant à promouvoir vos services tout en apportant une réelle valeur à l’audience.
  • Importance de structurer vos vidéos pour un impact à la fois éducatif et commercial.

• VSL (Vidéo de Vente) sur YouTube :
  • Une vidéo pierre angulaire agit comme une VSL, renvoyant toutes les autres vidéos de la chaîne vers elle.
  • Exemple : une vidéo pour un coach sportif pourrait s’intituler : « 3 étapes pour perdre 10 kg en 3 mois sans passer 2 heures par jour à la salle de sport ».
  • Cette vidéo :
    • Positionne votre méthode comme la solution unique et optimale pour votre cible.
    • Désamorce les objections liées aux autres méthodes inefficaces.
    • Se termine avec un appel à l’action : « Prenez un appel avec moi si vous souhaitez qu’on vous aide. »
• Avantages d’une VSL YouTube :
  • Pas de besoin d’investir dans des publicités.
  • YouTube favorise les vidéos qui augmentent le session watch time (enchaînement de vidéos sur votre chaîne).
  • Exemples de succès : Iman Gadzhi a utilisé ce modèle pour générer 8 millions de vues et 20 millions de dollars en ventes.
• Deux stratégies autour de la VSL :
  • Une seule vidéo VSL YouTube, accessible gratuitement.
  • Une VSL plus traditionnelle (avec capture d’emails), utile pour construire une base d’emailing marketing et activer un backend.
• Vidéo de type « Value Asset » :
  • Vidéos ultra-qualitatives basées sur des preuves solides.
  • Importance de la cohérence entre la preuve et la promesse.
    • Exemple : Alex Hormozi justifie sa réussite en expliquant comment il a gagné 8 millions d’abonnés en 3 ans.
• Interviews client optimisées :
  • Aller au-delà des témoignages classiques et ennuyeux (« C’était génial de travailler avec X. »).
  • Transformer les interviews en vidéos engageantes avec une structure avant-après :
    • Avant : difficultés, échecs, émotions.
    • Après : résultats concrets grâce à votre méthode (exemple : « Il a acheté 2 immeubles en 6 semaines sans aucune expérience initiale »)
  • Aborder les interviews sous un prisme éducatif pour démontrer votre expertise tout en racontant des histoires captivantes.
• Plan d’action simplifié pour débutants :
  • Commencez par traiter des sujets « putaclic » mais avec un angle expert pour maximiser les vues initiales et attirer les premiers abonnés.
  • Orientez toutes les vidéos vers votre VSL YouTube pour convertir les spectateurs en prospects qualifiés.
  • Une fois vos preuves consolidées (résultats clients), ajoutez des interviews clients et des vidéos « Value Asset » pour enrichir votre stratégie.
• Solution pour les entrepreneurs à court de temps :
  • Adoptez une approche minimaliste et focalisée, en priorisant les éléments les plus impactants (choix des sujets, vidéos pierre angulaire).
  • La stratégie proposée s’intègre dans un emploi du temps déjà chargé sans nécessiter des heures de tournage ou de gestion technique.
• Session stratégique et accompagnement :
  • L’auteur propose des appels stratégiques pour accompagner les entrepreneurs à construire une stratégie YouTube sur mesure.
  • L’objectif est d’apporter de la valeur, que la collaboration ait lieu ou non.

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Création des 10 prochaines vidéos, même avec peu de temps :

• Setup simple et rapide :
  • Éviter les setups compliqués qui créent de la friction.
  • Options recommandées :
    • Simple : utiliser des logiciels comme Loom avec un iPhone comme webcam et un micro USB (ex. Rode NT USB+).
    • Intermédiaire : DJI Osmo Pocket 3, une caméra compacte et facile d’utilisation.
    • Avancé : un Sony A73 avec un objectif 50 mm f/1.8, un micro Rode Wireless Go, un trépied et une lumière (ex. Amaran).
• Prioriser le 80/20 :
  • Concentrer les efforts sur les 20 % d’actions clés qui produisent 80 % des résultats :
    • Titre, miniature et angle de la vidéo : éléments critiques à travailler dès le début du processus.
    • Hook (introduction) : 30 à 40 % des spectateurs partent dans les 30 premières secondes. Optimiser cette partie pour maximiser l’engagement.
    • Call-to-Action (CTA) : proposer des actions simples et claires (prendre un appel, consulter une VSL, etc.).
• Créer une chaîne YouTube cohérente :
  • Relier vos vidéos entre elles pour augmenter le session watch time (temps moyen passé sur votre chaîne).
    • Exemple : ajouter des transitions logiques entre vidéos (« Si cette méthode vous intéresse, découvrez cette autre technique dans notre guide complet. »).
  • Orienter les spectateurs vers la vidéo VSL pour favoriser les conversions.

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Processus structuré et productivité :

• Batcher les tâches :
  • Ne pas traiter chaque vidéo individuellement, mais planifier et produire plusieurs vidéos en même temps.
  • Exemple de pipeline :
    • Noter les idées de vidéos dans un tableau.
    • Travailler sur les titres et miniatures de plusieurs vidéos en une seule session.
    • Écrire les scripts de toutes les vidéos dans un « flow » productif.
    • Tourner les vidéos en bloc, puis déléguer montage et miniatures.
• Déléguer les tâches chronophages :
  • Sous-traiter le montage et la création des miniatures :
    • Montage vidéo : trouver des monteurs sur LinkedIn, Instagram, ou via des annonces avec tests.
    • Création de miniatures : chercher des créateurs sur Twitter ou des plateformes dédiées.
    • Former vos prestataires pour qu’ils s’adaptent à votre style et travailler sur le long terme.
• Critères pour sélectionner un monteur :
  • Vérifier :
    • Orthographe dans les sous-titres.
    • Organisation et respect des délais.
    • Qualité du rendu.
  • Utiliser des tests courts pour évaluer leurs compétences.

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Réflexion sur la production YouTube :

• Simplifier le processus :
  • Plus le système est fluide et structuré, moins vous perdez de temps à « recommencer de zéro » chaque semaine.
  • L’objectif est d’automatiser les tâches secondaires pour vous concentrer sur les parties où vous apportez le plus de valeur (idées, angles, hooks).
• Optimisation du temps :
  • Bloquer des journées entières pour travailler sur YouTube (ex. : écrire ou tourner plusieurs vidéos d’un coup).
  • Minimiser les distractions et maximiser l’efficacité dans chaque étape.

• Rappel des trois profils cibles :
  • Débutants : besoin d’informations pour se lancer.
  • Intermédiaires : déjà formés mais besoin d’un boost ou d’une répétition pour passer à l’action.
  • Avancés : savent comment faire mais cherchent une checklist pour optimiser leurs processus.
• Passage à l’action :
  • Importance d’appliquer ce qui a été vu dans la vidéo pour obtenir des résultats concrets.
  • Même la mise en pratique d’un seul point peut faire une grande différence, comme décrocher un client supplémentaire.
  • Sans action, aucune transformation ni résultat n’est possible.
• Les opportunités offertes par YouTube :
  • Plateforme gratuite permettant :
    • De toucher des milliers de personnes.
    • De transmettre ses idées.
    • De trouver des clients sans aucun investissement publicitaire.
  • Une chance unique à exploiter avec les bonnes stratégies.

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